Les frontières s’estompent entre la création, sa phase de modélisation et sa représentation ou diffusion. Des écrivains rédigent des oeuvres jamais publiées si ce n’est virtuellement. Des danseurs virevoltent au coeur de performances numériques. Des visiteurs deviennent contributeurs actifs d’happenings digitaux. La Fédération Wallonie-Bruxelles achète des oeuvres numériques. Des centres culturels numériques se créent, comme la Gaieté lyrique à Paris. Etc…
Le numérique peut-il être une fin en soi? Ou n’est-ce une simple étape pour les créateurs? Que sera la création demain?
Pour en parler:
Philippe Réale du magazine Focale Alternative
Le collectif Dirty Monitor
Jacques Urbanska, chargé de projets Transcultures / arts et réseau, multimédias, intervenant notamment sur www.arts-numeriques.info – www.digitalarti.com/review